Assurance-vie épargne
Vos avantages
- Epargner tout en bénéficiant d’une couverture individuelle et ce, de la manière la plus simple
- Assure la sécurité des survivants face aux engagements financiers
- Permet d’épargner, même avec un petit budget, avec rémunération garantie
- Assurance risque intermédiaire en cas de difficultés financières pendant la durée du contrat
- Exonération du paiement des primes en cas d’incapacité de gain
- Excédents garantis une fois par an et directement crédités aux clients
Quelle est la différence entre assurance risque et épargne ?
Avec les assurances-vie, vous avez la possibilité d’assurer uniquement un simple risque (décès ou incapacité de gain) ou de combiner la protection contre le risque avec un plan d’épargne. Cela a également un impact sur la fiscalité.
Fondamentalement, nous faisons une distinction entre les assurances épargne constitutives de capital ou susceptibles de rachat et les assurances risque ou ne pouvant être rachetées.
Assurance épargne
Assurance risque et épargne
Quels sont les avantages qu’offrent les assurances-vie ?
Comment puis-je assurer l’avenir d’un enfant?
Que vous soyez leur mère, leur père, un grand-parent ou un parrain : lorsque vous pensez à l’avenir de ceux qui vous sont chers, il ne s’agit pas seulement d’études onéreuses. Mais en imaginant le pire, il s’agit également des dépenses élevées en cas d’invalidité. Il est certain que les prestations fédérales de l’AI sont insuffisantes. Un enfant atteint d’invalidité ne perçoit à l’âge adulte que 133% de la rente AI minimale (env. CHF 19 000). Si le cas se présente, il n’est plus possible de s’assurer ultérieurement contre l’invalidité.
Afin d’être indépendant de l’Etat, il convient de souscrire une assurance risques pour enfants. C’est meilleur marché que vous ne le pensez. Pour une prime annuelle réduite, vous garantissez une rente pour enfant appréciable qui est versée en cas de sinistre. Cela inclut l’exonération du paiement des primes du contrat en cas de décès ou d’incapacité de gain de l’adulte.
Une assurance pour enfants protège votre descendance, mais pas seulement en cas de risque, elle garantit également une formation initiale. A l’échéance de l’assurance, vous pouvez percevoir la part d’épargne et la confier à votre enfant, comme capital initial pour débuter sa vie professionnelle.
Détecter et combler les lacunes de prévoyance
Les 1er et 2e piliers vous garantissent à l’âge de la retraite environ 60% du dernier salaire perçu. Dans de nombreux cas, toutefois, ces 60% ne suffisent pas à maintenir le niveau de vie habituel. Il est donc souhaitable de compléter ces moindres revenus par la prévoyance privée. D’après notre expérience, on vise généralement environ 80% du dernier salaire perçu.
Etant donné que non seulement l’AVS, mais aussi la LPP prévoient une assurance-vieillesse maximale jusqu’à un salaire annuel d’environ 85 000 francs, cela peut entraîner des lacunes de prévoyance dans le cas de revenus plus élevés. D’autres causes de lacunes de prévoyance sont par exemple la maternité, des études, un travail à temps partiel, un séjour à l’étranger, un divorce ou une retraite anticipée. Si vous ne détectez et ne comblez pas ces lacunes à temps, vous pourriez être confronté à des difficultés financières durant la vieillesse ou en cas d’invalidité.
Souscrire un 3e pilier
Les lacunes de prévoyance sont souvent comblées par des versements dans le pilier 3a. Cela implique un certain nombre d’avantages:
- Vous pouvez déduire les versements annuels dans le pilier 3a du revenu imposable jusqu’à concurrence du montant maximum légal, faisant ainsi des économies d’impôts.
- L’avoir de prévoyance n’est pas soumis à l’impôt sur le revenu ou sur la fortune pendant toute la durée du pilier 3a.
- En cas de versement du capital de prévoyance provenant du pilier 3a, celui-ci est imposé sur la base d’un taux réduit.
Versements dans le 2e pilier
Vous pouvez également faire des rachats volontaires dans la caisse de pension afin de combler les lacunes de prévoyance (éventuellement dues à une période de cotisation incomplète). Les rachats volontaires dans le 2e pilier sont par ailleurs déductibles du revenu imposable.